Votre organisme est-il encombré par les metaux lourds ?

Voilà une question que vous vous posez quand vous entendez parler des pollutions de notre environnement.

Pour connaître la réponse, nous nous référerons à 3 éminents spécialistes : le Dr Dietrich Klinghardt, le Professeur Luc Montagnier et le professeur Lester Packer.

Les métaux lourds

On peut citer l’aluminium, le plomb, le mercure, le cadmium…
Les principales sources de pollution sont le tabac, le liquide de rinçage de lave vaisselle riche en cadmium, l’eau du robinet quelquefois riche en plomb (centre ville, canalisations anciennes), les poissons péchés dans les mers polluées (le thon est souvent contaminé), les amalgames dentaires…

Selon le Dr Dietrich Klinghardt, pionnier dans le traitement des maladies dues aux métaux lourds, lors d’une conférence qu’il a donné à l’école polytechnique de Zurich, le 14 mai 1998.

« Il existe deux sources principales de pollution au mercure :

• Les plombages. Lorsqu’on pose un amalgame dans le maxillaire supérieur, le mercure ne met que 24 heures pour arriver au cerveau.
• La mère. En effet, le corps de la mère utilise le foetus comme « poubelle » pour se débarrasser de ses propres métaux lourds. Même quand la mère n’a pas d’amalgames ! Car l’empoisonnement par le mercure se fait sur deux générations !
Comment détecter une intoxication aux métaux lourds ? (Extrait de la conférence du 14 mai 1998)
• Effets des métaux lourds sur le système nerveux central :
– Nervosité, perte de la mémoire immédiate
– Toutes les sortes d’insomnies
– Instabilité émotionnelle
•  » Symptômes neurologiques :
– Fourmillement des mains
– Sentiment de brûlure constante avec endormissement des membres inférieurs
– Léger tremblement des mains

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On a pu établir un lien entre le mercure et la maladie d’Alzheimer.
Lors d’autopsies du cerveau faites sur des personnes décédées de la maladie d’Alzheimer, on a mesuré quatre fois plus de dépôts de mercure et deux fois plus de dépôts d’aluminium dans leur cerveau que dans celui de personnes mortes de mort naturelle. Dans la région de la tête :

– Saignement des gencives
– Gencives qui se retirent mettant l’os du maxillaire à nu
– Dents qui bougent
– Mauvaise haleine
– Sentiment de brûlure sur les lèvres, la langue et le visage
– Abcès buccaux
– Vertiges
– Sifflement dans les oreilles
– Difficultés oculaires (baisse de la vision des contrastes et des couleurs dues à des dépôts de métaux lourds dans le cervelet) Dans le secteur digestif :
– Allergies alimentaires, particulièrement aux oeufs et au lait
– Coliques
• Les symptômes cardiaques :
– Arythmie (due aux dépôts de métaux lourds dans les nerfs commandant l’activité cardiaque)

Comment se désintoxiquer ?

Il existe des aliments riches en détoxifiants naturels des métaux lourds. Ils contiennent des acides aminés soufrés (cystéine, taurine) qui luttent contre l’intoxication. Ce sont les huîtres, les poissons gras, les produits de la mer.

Mais l’alimentation ne remplissant plus son rôle d’apport nécessaire et suffisant, vous devez donc prendre des compléments alimentaires.
Cette complémentation est plus efficace si elle est synergique.

Il faut donc faire appel à des chélateurs (substances formant avec certains poisons un chélate éliminé dans les urines et qui sont utilisées en cas d’intoxication)

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La Chlorella

Championne mondiale pour nettoyer l’organisme.

Une étude, faite en Chine, montre la chose suivante : lorsqu’une personne prend tous les jours de la chlorella en quantité moyenne, on ne décèle plus de trace de métaux lourds dans ses cellules.

Conseils

Vous ne supportez pas la chlorella, vous avez des ballonnements, des flatulences ?
L’explication est la suivante : De petites quantités de chlorella mobilisent plus de mercure qu’elles ne peuvent en évacuer.
Il vous faut augmenter les doses. Les patients qui ne supportent pas trois à quatre comprimés par repas sont beaucoup plus intoxiqués que ceux qui en supportent six ou sept. En augmentant les doses vous supprimez ces inconvénients qui ne sont que passagers.

La mise en application de ce traitement a conduit à des succès percutants dans le traitement des tumeurs du cerveau par exemple. Après quelques semaines de traitement, les tumeurs avaient rétréci de moitié.

Selon le docteur Dietrich Klinghardt, nous devrions tous prendre de la Chlorella tous les jours. »

Quand au Professeur Luc Montagnier (co-découvreur du virus du SIDA) et au professeur Lester Packer de l’Université de Berkeley (Californie), ils se sont penchés sur un autre chélateur de métaux lourds :

La papaye fermentée

Lors d’une conférence le 26 octobre 2000 à la Maison du Japon à Paris, le Pr Montagnier a déclaré :

« La papaye fermentée a des propriétés remarquables pour lutter contre le stress oxydant et pour stimuler le système immunitaire ».

La papaye fermentée possède une puissante activité anti-oxydante (20 fois supérieure au moins à celle de la vitamine E) et une remarquable capacité immunostimulante. Elle agit aussi comme anti-inflammatoire et chélateur des métaux lourds.

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Dénuée de toxicité et d’effets secondaires, elle est recommandée dans un grand nombre de pathologies à composante oxydative et immunitaire. Elle est utile en cas de SIDA, en immunologie, cardiologie, diabétologie, hématologie, hépatologie, gastro-entérologie, neurologie, oncologie, pneumologie et rhumatologie.

Au Japon, beaucoup de gens en bonne santé utilisent la papaye fermentée à titre préventif ou comme produit anti-vieillissement.

LES SYNERGIES

Pour une action décuplée, il est plus efficace de prendre la chlorella avec d’autres plantes et compléments nutritionnels. Ainsi, pour lutter contre la pollution et se débarrasser des métaux lourds, elle se marie parfaitement avec l’extrait de papaye fermentée.