1) Vérifiez le Plan de Prévention des Risques
Faites le même avant l’achat de votre terrain. Le PPR vous indiquera si la parcelle de terrain est sujette à des risques naturels : risques de glissements de terrain, risques d’inondation, risques sismiques…
A consulter gratuitement dans votre mairie ou sur internet selon votre département.
2) Etude de sol
Pour savoir quel type de fondation votre maison a besoin, un seul réflexe : l’étude de sol de type G12. Ce document vous permettra, après sondages, de savoir précisément jusqu’à quelle profondeur il faut creuser pour atteindre le « bon sol » sur lequel votre maison devra reposer. Comptez entre 1500 et 2000 €.
3) Choix des intervenants : Architecte, BET et Bureau de contrôle
Rien de mieux que de choisir vos intervenants le plus en amont possible du projet de construction de maison. Et ce n’est pas moins cher de recruter ces intervenants si votre chantier est déjà avancé.
Si vous n’arrivez pas à choisir, pensez à consulter l’ordre des architectes.
4) Cahiers des charges
Une des étapes les plus négligées par les particuliers, et c’est dommage. En effet, un cahier des charges clair et complet est une base solide entre le particulier et l’entrepreneur, et sert de référence en cas de litige.
Pour rédiger les cahiers des charges, sachez qu’il y en a un par corps d’état (1 pour le gros-œuvre, 1 pour la charpente-couverture, etc…) et que votre architecte est censé les rédiger, sous le contrôle du controleur technique.
5) Subventions Locales
Dernier point avant de lancer le chantier ! Les collectivités locales (mairie, département, région) et certaines agences publiques (comme l’ADEME) peuvent parfois subventionner une partie de vos travaux. Exemple classique : vous pouvez obtenir un crédit d’impôt si vous installez un chauffe-eau solaire.
Mais bien souvent, il faut remplir le dossier de demande AVANT le démarrage du chantier. Ne soyez pas pris au dépourvu !